Le soir, en mes pénates.
Le soir en mes pénates,
Défais de mes savates,
Adieu belle cravatte,
Et fute qui me gratte.
Mes chaussettes odorantes,
Certes un peu collantes,
Un cadeau de ma tante,
Une pure exubérante.
D'un geste je les rejette,
Par dessus la banquette verte,
Entre deux anisettes,
Me gave d'olivettes.
Au loin, elles refoulent,
Leurs vapeurs qui saoulent,
Sur le sofa en boule,
D'un saut me met en boule.
D'un coup l'aisselle me gratte,
Plus rien dedans ma jatte,
Meme plus moindre patate,
C'est pas vraiment l'éclate.
Que faire pour me nourrir,
De mes chaussettes sortir,
Un triste elixir,
Ne pas ainsi périr.
Défais de mes savates,
Adieu belle cravatte,
Et fute qui me gratte.
Mes chaussettes odorantes,
Certes un peu collantes,
Un cadeau de ma tante,
Une pure exubérante.
D'un geste je les rejette,
Par dessus la banquette verte,
Entre deux anisettes,
Me gave d'olivettes.
Au loin, elles refoulent,
Leurs vapeurs qui saoulent,
Sur le sofa en boule,
D'un saut me met en boule.
D'un coup l'aisselle me gratte,
Plus rien dedans ma jatte,
Meme plus moindre patate,
C'est pas vraiment l'éclate.
Que faire pour me nourrir,
De mes chaussettes sortir,
Un triste elixir,
Ne pas ainsi périr.